2017 l’association est en deuil

Nous venons d’apprendre aujourd’hui  28 décembre que notre ami Hubert Bréon vient de nous quitter. Nous pensons à sa famille et tout particulièrement, à son épouse Chantal, tous affectés de manière supplémentaire en cette période de fêtes familiales.

Jean-Baptiste Peyre est mort dans la nuit du 7 mars terrassé par une crise cardiaque. C’est à lui que nous devons notre site Internet, qu’il avait conçu avec ses compétences d’informaticien et réalisé avec un grand sens artistique.
Il vient de disparaitre et nous laisse dans une grande tristesse.

Marc Poquillon est mort dans la soirée du 12 août quelques jours après avoir célébré ses quatre-vingt-dix ans.
Il est l’un des fondateurs de notre association « Les Amis de la Collégiale » (il va y avoir 20 ans) et son vice-président, amicalement lucide et critique, pertinent, actif et disponible même dans les toutes petites choses, homme de conviction et homme solide, il était présent, au point de nous faire oublier le temps qui passe, les ans qui nous usent. Il fallait marcher avec lui les 200 m nous séparant de la voiture, à l’issue d’une réunion, pour apprécier le pas de cet homme, son énergie et je dirai sa foi. Il manifestait toujours sa curiosité, son intérêt et son goût pour la réflexion, y joignant toujours une grande sympathie. Son écoute, ses avis qu’il donnait volontiers chaque fois qu’on le consultait, rendaient nos réunions fort agréables à vivre, comme, aussi, ses récits d’après réunion au moment de l’apéro (c’était Nîmes, son professeur d’anglais qui les envoyait pédagogiquement cornaquer les jeunes GI dans la ville, Israël, les heures d’observation au bord du canal de Suez…). Marc, tout d’attention, tout de calme vigilance, tout de simplicité, très présent, si présent, nous a quittés sans que nous puissions encore bien réaliser que « cet homme si bien » est, comme le disait l’un d’entre nous, « un homme si bien » de plus au paradis, mais un de moins parmi nous.
En outre, les organistes de cette paroisse ont à le remercier pour son attention, ses observations et son écoute amicales, pour sa présence à quasiment toutes nos manifestations.
Chère Françoise, les amis de la collégiale vous assurent, vous et votre famille, de leur entière sympathie en ce moment si douloureux.
Au-delà de notre tristesse et même de notre désarroi : à Dieu, Marc. A Dieu en deux mots, car c’est un rendez-vous.